Menu Fermer

La pollution dans le bureau

L’espace confiné du bureau favorise l’apparition du « syndrôme des bâtiments malsains » qui regroupe des symptômes tel que les maux de tête (ondes électromagnétiques), irritation des muqueuses, vertiges, troubles allergiques provoqués par l’exposition aux COV dégagés par les différents matériaux de construction (revêtement sol et mur, solvant mobilier). Il est donc recommandé de disposer un maximum de plantes dépolluantes sur le lieu de travail.

Le mobilier du bureau et l’installation

Lorsqu’il s’agit de mobilier contemporain, le bureau, le fauteuil, les placards et étagères seront sans doute fabriqués à partir de panneau de particules qui peuvent notamment dégager du Formaldéhyde. Le mobilier ancien (ciré) risque, quant à lui de dégager des composés organiques volatils.

Le bureau est une assez petite pièce où se trouve concentrée une pollution électromagnétique assez conséquente. En effet, les champs magnétiques et électriques produits par les téléviseurs, ordinateurs, les téléphones portables et sans fil, les lampes halogènes sont importants. Essayez d’éloigner au maximum la place assise de ces appareils et ajoutez des plantes vertes purifiantes.

D’une manière générale, soyez attentif aux maux de tête ou aux sensations de fatigue que peut provoquer la pollution engendrée par les produits de bricolage. Nous ne voyons pas le temps passer pendant que notre concentration porte sur ces loisirs créatifs.

Pensez aussi à orienter l’arrière de vos écrans d’ordinateur vers un mur donnant vers l’extérieur de la maison de façon à être moins exposés aux ondes électromagnétiques. Si ce n’est pas possible, éteignez vos appareils lorsque vous ne les utilisez pas et notamment avant de vous coucher.

Les habitudes de vie

Les encres utilisées pour imprimer sont présentes sous différentes formes. Suivant leur provenance, leur composition, leur mode de séchage, elles dégagent plus ou moins d’éléments polluants pour l’air, comme le toluène.

Les produits d’entretien du mobilier ancien contient généralement des cires, huiles et solvants organiques (térébenthine le plus souvant). Les solvants dégagent des polluants venant s’ajouter aux COV déjà présents dans l’air et augmentent ainsi les dangers pour la santé et l’environnement. Préférez des cires d’abeille pure ou dépoussiérez le bois avec un chiffon doux sans utiliser de bombe dépoussiérante. On peut aussi utiliser des huiles spécifiques sans solvants pour les meubles.

En outre, la fumée de cigarette avec ses quelques milliers de composés chimiques, est une source de pollution fréquente dans un bureau. Voici quelques uns des polluants contenus dans la fumée, et que l’on retrouve aussi ailleurs : l’acétone (dissolvant), le monoxyde de carbone (gaz d’échappement), l’ammonium (engrais), le mercure et le plomb, le benzène (hydrocarbure dans le carburant), le cadmium (batterie auto). Certaines plantes dépolluantes filtrent cette fumée.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *